jeudi, septembre 26, 2013

Ô lit

Ô lit !
Ô Grand oublié de ces journées
Ô lit que je vénère allongé
N'y voyant qu'un plafond désolé
Tu me transportes dans cent mille lieux
Dans des rêves plus ou moins vertueuses
Ô lit... Vingt dieux...
Ô que c'est bon de te retrouver !

Aucun commentaire: