les femmes viennent de venus

Les joies de ne pas avoir à réfléchir

Robes

too hot

Mondes invisibles

odeurs marquantes

de la dynamique des rayures

le grand mix

vieux papy algérien
3 anglais tout droit sortis d'un film de Ken Loach
black musulmane (ou plutôt une emirati ?)
rocker des années 80
blanc-bec à la calvitie avancée, quelques cheveux hirsutes
juif
black à la casquette
jeune d'origine maghrébine
blonde
black en costard
grande brune mystérieuse
retraités
femme enceinte
gosses
kaïd
antillaise
sûrement des asiatiques à l'autre bout du wagon

infini, sans fin et éternel

Comme depuis la nuit des temps en cette période et encore pour toute notre éternité, les jours se mettent à raccourcir.

"On est beaucoup en fonction de la place qui nous reste"

où sont passés nos terrains vagues ?

brocante

bout de ciel

monde invisible

"L'homme à la chaussure à fleurs bleues" ou "Le principe de pulsion contrariée"

Tout est net, tranchant...

... finis les flous émerveillants, les mondes parallèles de quand j'étais myope.

l'homme est un être communiquant

... ou le contraire.

Nous nous construisons autour de nos histoires...

de 5 à 6

Combien d'images ?

Question suivante

Regarder dans le vide pour ne plus qu'écouter.

"Un bruit de fonds ; une machinerie. Des pas, un bip bref, plusieurs battements de portes. Le son mécanique et répétitif est plus intense. Frottements ; frottements de métal, de plastique, de roulements, bruits continue et bruits saccadés. L'écho est différent maintenant. Une voix, provenant de derrière, une voix ; de l'hébreu. Une voix d'homme, claire, un homme au téléphone, sûrement. Et toujours ce râle mécanique."

Escalator de la station place des Fêtes, 22h35.

electricités

la pluie des dieux

ECHOnomie

anosmie

Finie l'odeur, même artificielle, de croissant, fini de sentir à plein nez les roses ouvertes, finies les fragrances des décolletés, les relents d'accras, finies les odeurs de pailles, d'algues ou de figuiers, les senteurs orientales, les fumets s'échappant du fait-tout, fini l'arôme du café, rêveries des brûleries, fini le spray-parfum de chiotte, finies les effluves, finie l'odeur d'allumette craquée, de bougie d'anniversaire, d'encens… oui, finis les encens insensés les tortillons anti-moustiques, une haleine chargée, le menthol, l'odeur de piscine, le plastique brûlé, le tabac froid, la cigarette ou la pipe, le moisi, le renfermé, la cannelle ou les vieux jupons, la naphtaline, le gazole, le feu de bois, le basilic, la sueur, les pieds, le fromage, la sardine grillée, le plastique neuf, les carnets Rodia, les lendemains de fête, les bestiaux, la montagne, les poissonneries, le gaz, l'humus, l'anus, le graillon, le déo à deux balles, le doudou, la nounou, la pisse de chat, l'engrais pas bio, les bonbons Vosgienne, l'ail sous toutes ses formes, la cire de parquet. Heureusement, l'odeur n'a pas d'argent.

desir

Un jour, sur Terre