"[...] elle avait, paraît-il, vendu le Shitao et les trésors du lettré pour quelques dollars et brûlé également son journal intime. [...] Comment expliquer la raison de ce geste insensé : détruire la mémoire de l'homme qu'elle avait aimé toute sa vie ? [...] Une célèbre musicologue américaine a récemment déploré la perte de ce journal dont la teneur nous aurait sans doute éclairés sur une partie de l'histoire de la Chine durant ces quatre-vingt dernières années."
Fabienne Verdier, Passagère du Silence, p.272
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