mardi, août 24, 2010

le monde à moins de 120°

film-peinture... Ce n'est pas le sujet
qui fait l'image mais l'émotion qui s'en dégage.
Le cardage impose un point de vue. Le spectateur
captivé scrute(voit/écoute)les moindres détails
qu'on lui offre. J'ai essayé, dans un resto quelconque,
asiatique par exemple, de regarder la scène
comme un film. J'en suis loin ; pourtant tout y est :
bruit de fond d'une télé, dynamique des personnages,
exotisme, langue étrangère... Mais dans un film
le manque de sous-titres m'aurait gêné.
Sûrement parce que le cinéaste, lui, s'adresse à nous.

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