Ses mains glissaient du cou aux épaules, aux omoplates, puis remontaient le long de la nuque et recommençaient leur tour, de manière régulière. Le frottement répétitif du dos des mains sur la serviette lorsque celles-ci passaient dans le dos faisaient penser aux craquements d'un vinyle continuant de tourner, la pointe du diamant grattant en boucle les derniers sillons.
Les mains embrassaient maintenant les contours du visage, profondément détendu.
Sa conscience était totalement extérieure aux sensations de son corps, comme si, indissociables, l'une observait l'autre s'abandonner.
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