Des
caresses. Dans la chaleur provençale je caresse du bout des doigts
ce corps assoupi pour la sieste, qui dans un demi-sommeil se retourne sur le dos pour
apprécier d'autres caresses sur le torse, son souffle collé à mon
oreille. La lumière vive de l'été se glisse à travers les interstices des volets fermés. La fenêtre entrouverte
laisse passer un filet fait chaud et les chants des cigales.
De son enfance, je voudrai qu’elle garde ce souvenir de douceur par une chaude journée d'été.
De son enfance, je voudrai qu’elle garde ce souvenir de douceur par une chaude journée d'été.
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