de grands riens pour un petit tout: 2015-04

jeudi, avril 30, 2015

mercredi, avril 29, 2015

mardi, avril 28, 2015

lundi, avril 27, 2015

dimanche, avril 26, 2015

samedi, avril 25, 2015

savoir

Savoir écouter les bruits, guetter les lueurs, écouter son corps, son état de fatigue ou de repos, quand en pleine nuit, on se réveille, sans horloge ni smartphone pour savoir l'heure...

vendredi, avril 24, 2015

jeudi, avril 23, 2015

mercredi, avril 22, 2015

mardi, avril 21, 2015

l'idée de la plage... ou plutôt la plage

lundi, avril 20, 2015

dimanche, avril 19, 2015

samedi, avril 18, 2015

vendredi, avril 17, 2015

la forêt... ou plutôt l'idée de la forêt.

jeudi, avril 16, 2015

Tout est là, comme en plein été.

Les ombres sont plaquées contre les sols et les murs,
les épaules se dénudent,
les passant froncent leurs regards,
les moteurs des voitures chauffent encore davantage l'air ambiant,
...

mercredi, avril 15, 2015

mardi, avril 14, 2015

Aujourd'hui j'ai croisé une femme de caractère, une belle femme, un p'tit bout d'femme, une jeune femme, une femme qui se roule par terre, une femme en short, une en jupe, une au dos nu, au chignon, aux cheveux courts, une femme qui sourit, une femme sévère, une grosse femme, une femme sensible, une femme meurtrie, une femme aux cheveux gris... Et tant d'autres encore.

lundi, avril 13, 2015

Protégé des UV, des chocs, des particules fines.

dimanche, avril 12, 2015

reflexion faite

samedi, avril 11, 2015

Catalogue d'amploules

vendredi, avril 10, 2015

sky lines

jeudi, avril 09, 2015

Douceur

Les parcs se repeuplent, les enfants réchauffés courent sans manteau. Seuls les dealers gardent encore leurs oreilles bien au chaud sous leurs capuches sombres. Il fait doux pourtant, même à l'ombre.

mercredi, avril 08, 2015

parce que.

Ce matin, il n'y avait plus de militaire. Plus de soldats dans les gares, les transports, non plus devant les lieux de culte, les lieux sensibles, juste la vie, comme si de rien n'était. Comme si... Les voitures stationnent devant les écoles, l'on rentre dans un musée sans plus jamais biper sous le portique de sécurité, disparu lui aussi. Ce matin, il n'y avait plus de messages de prévention dans les métros, qui nous demandaient de se tenir en alerte en cas de découverte d'un colis abandonné. Abandonnés ! Les écarlates, les mitraillettes, les camouflages !

Ce matin, je me suis réveillé après un rêve étrange. Ce matin tout est là, comme hier. Pourquoi en serait-il autrement ? Pourquoi ma fille connaîtrait autre chose ?