Je me suis
réveillé en pleine nuit, sans savoir où j’étais. D’ailleurs je n’étais pas chez
moi.
Dans
l’obscurité de la pièce, les yeux se posent sur une lueur, une craille de
porte, et permettent de s’orienter, de comprendre d’espace, de situer le lit
sur lequel on est allongé par rapport à une éventuelle fenêtre, un mur…
Combien dure
ce laps de temps où, à moitié endormi, nous n’avons plus de repère, où l’on se
dit « où suis-je ? »
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