dimanche, octobre 31, 2010
samedi, octobre 30, 2010
vendredi, octobre 29, 2010
jeudi, octobre 28, 2010
mercredi, octobre 27, 2010
mardi, octobre 26, 2010
lundi, octobre 25, 2010
dimanche, octobre 24, 2010
samedi, octobre 23, 2010
vendredi, octobre 22, 2010
jeudi, octobre 21, 2010
mercredi, octobre 20, 2010
mardi, octobre 19, 2010
place st-mich'
Comme devant un théâtre, je suis libre ici de regarder les gens dans les yeux, de les dévisager ; ici chacun cherche un visage familier ou un visage dont on a juste une idée. Lui peut-être ? Elle ? Je lui tourne autour... observe une réaction... rien. Alors j'attends et je me retrouve à mon tour dévisagé sans pudeur.
lundi, octobre 18, 2010
dimanche, octobre 17, 2010
samedi, octobre 16, 2010
vendredi, octobre 15, 2010
jeudi, octobre 14, 2010
mercredi, octobre 13, 2010
mardi, octobre 12, 2010
lundi, octobre 11, 2010
C'est sûr.
La pierre prend cette couleur jaune, mais un jaune très pâle, pas blanc non plus, un jaune qui ne serait pas une couleur chaude. Le bleu du ciel est un peu plus pâle que ces derniers jours également, beaucoup plus clair et presque transparent vers l'horizon où se lève le soleil. Lui qui paraît tellement loin déjà, les ombres sur les façades n'en finissent pas de s'étirer, d'un seul côté ; ce soleil qui reste tellement bas, lui qui tarde tellement à se hisser maintenant. Tout paraît davantage figé. Seuls les branchages ondulent de façon syncopée sous un vent irrégulier. Tout paraît plus calme, jusqu'aux bruits de la rue que l'on discerne moins. Ce matin, les fenêtres des habitations restent fermées. Pas besoin d'y mettre une main ; il fait froid maintenant, c'est sûr.
dimanche, octobre 10, 2010
samedi, octobre 09, 2010
vendredi, octobre 08, 2010
jeudi, octobre 07, 2010
catherine
je n'ai jamais rencontré de "Catherine"...même si je remonte loin, loin, loin dans mes souvenirs, jamais je n'ai croisé de "Catherine"... ou alors je ne m'en souviens vraiment pas.
mercredi, octobre 06, 2010
mardi, octobre 05, 2010
lundi, octobre 04, 2010
dimanche, octobre 03, 2010
samedi, octobre 02, 2010
mais comment on ferait aujourd'hui sans portable ?
- c'est fou ce qu'un enfant emmagasine comme informations ; il retient tout ! tu dis un nouveau mot et il le retient... pas comme nous
- oui mais nous on retient tout un tas d'autres choses, le prénom de tel bébé, une date d'anniversaire, tout un tas d'informations visuelles comme une adresse, un parcours, s'il faut être à l'avant ou à l'arrière du métro pour changer dans telle station... et puis quand tu bosses, tout un tas de noms de clients, des numéros de téléphone, des codes...
- on n'apprend plus les codes des gens... comment on faisait avant ?! aujourd'hui, dès que tu as un rencart, sans portable tu n'aurais pas l'adresse ni le code ;
- les nouvelles technologies ont sans doute induit un autre mode de fonctionnement ; avec un mobile, tu peux sortir de chez toi pour un rencart sans avoir l'adresse précise ni le code ; alors qu'avant, je pense qu'obligatoirement tu sortais de chez toi sans oublier d'avoir regardé ton carnet ou appelé pour avoir les renseignements ; comme tu sortirai avec un parapluie s'il pleuvait, on devait sortir avec les infos de là où tu vas ; on y pensait alors qu'aujourd'hui on n'a plus besoin d'y penser.
- ...
- ça veut dire que petit à petit les technologies doivent façonner notre façon de penser.
- oui mais nous on retient tout un tas d'autres choses, le prénom de tel bébé, une date d'anniversaire, tout un tas d'informations visuelles comme une adresse, un parcours, s'il faut être à l'avant ou à l'arrière du métro pour changer dans telle station... et puis quand tu bosses, tout un tas de noms de clients, des numéros de téléphone, des codes...
- on n'apprend plus les codes des gens... comment on faisait avant ?! aujourd'hui, dès que tu as un rencart, sans portable tu n'aurais pas l'adresse ni le code ;
- les nouvelles technologies ont sans doute induit un autre mode de fonctionnement ; avec un mobile, tu peux sortir de chez toi pour un rencart sans avoir l'adresse précise ni le code ; alors qu'avant, je pense qu'obligatoirement tu sortais de chez toi sans oublier d'avoir regardé ton carnet ou appelé pour avoir les renseignements ; comme tu sortirai avec un parapluie s'il pleuvait, on devait sortir avec les infos de là où tu vas ; on y pensait alors qu'aujourd'hui on n'a plus besoin d'y penser.
- ...
- ça veut dire que petit à petit les technologies doivent façonner notre façon de penser.
vendredi, octobre 01, 2010
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